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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Living Well Is The Best Revenge

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Re-par contre, j'ai découvert la critique dans ZOO et c'est vrai que c'est pas très gentil hmm
Je comprends qu'après un éreintage pareil tu déprimes, mon pauvre Yves...:(

Mais ne fais pas attention à cet hurluberlu...Ce n'est qu'un ... complexé de la vie! :mad
Il y connait rien!

Nous, on t'aime! wink

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Bande de moules!

Tu l'as pas lu, et c'est mieux comme-ça...
Je ne la recopierai pas ici d'ailleurs...Na  big_smile  wink

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232 (modifié par Filôzof 12-10-2011 18:25:24)

Re: Une nuit de pleine lune

Mmmmhh ... j'ai lu la critique et je dois dire que le gars c'est ....mmmm comment dire,
ah oui, comme dit mon fils,  UN PETIT ZIZI.... cool

« La critique est aisée, mais l'art est difficile  »

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Houlà, on a dit qu'on n'attaquait pas les gens sur leur physique. tongue

Cela dit, il a le droit de ne pas aimer l'album. Je n'ai pas lu son billet et ne le lirai pas mais je n'irai pas jusqu'à le condamner parce qu'il a osé écrire un mauvais papier sur un de nos albums... Un critique doit pouvoir exercer son métier (ou son hobby) sans être inquiété. Et puis, libre à ceux qui le lisent de le suivre ou pas. De toute façon, comme dirait l'autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. wink

235 (modifié par Filôzof 12-10-2011 19:54:13)

Re: Une nuit de pleine lune

Tout a fait, liberte d'expression donc je repete, c'est un ..... wink

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Re: Une nuit de pleine lune

Oui mais, enfin, il y a une manière de le dire....Ca ne me viendrait pas à l'idée de dire des méchancetés dans mes critiques... sad

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

C'est donc un bilouuuute!  big_smile

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

242 (modifié par nim70 17-10-2011 16:06:39)

Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Oui mais là, ça se voit tout de suite, ce sont de gros blaireaux !

(Bon, c'est juré, la prochaine fois, on mettra plutôt du parquet wink)

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Re: Une nuit de pleine lune

lol lol lol

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Re: Une nuit de pleine lune

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Re: Une nuit de pleine lune

Ben voilà! cela confirme que le critique de ZOO est un p'tit zizi....:lol: lol big_smile

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Re: Une nuit de pleine lune

"Et à la fin, la morale est (à peu près) sauve" ... D'accord avec ça, Yves ? roll

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Re: Une nuit de pleine lune

Pas vraiment, déjà que j'ai problème avec le concept de morale... Trop liée à la culture et à la religion à mon goût pour ne pas être suspecte.

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Re: Une nuit de pleine lune

Après lecture avide du PdF de ce mois,  je me demandais,  en lisant le premier synopsis, que dés le départ, tu avais en tête que la présumé victime soit en fait un salaud.
Pourtant, en lisant l’œuvre finale, même s'il on découvre le passé psychiatrique de Boisseau, on ne sait rien des raisons de ces actes passés ni si le gars est en fait un salaud ou pas.
Mais toi, tu le perçois comment, en tant que son créateur ?
Vrai ordure ou victime ?

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Re: Une nuit de pleine lune

Je ne poserais pas le problème en ces termes. Il me fallait un type qui soit crédible dans sa métamorphose de victime en bourreau. Peu importe que je considère Boisseau comme un salaud ou qu'il ait des circonstances atténuantes, ce n'est pas son procès que je fais. Je devais juste être certain que mon personnage fût inquiétant non pas par ses muscles ou son physique monstrueux (dans ce cas, il n'aurait pas été très crédible en victime) mais par son profil psychologique.

Il est vrai qu'au départ j'avais imaginé un tueur de gamines pervers à souhait, à l'image d'un Fourniret. Un type banal en apparence mais capable des pires meurtres. Or, je me suis rapidement aperçu que je faisais fausse route : le sujet était trop sordide, trop sensible aussi, pour en faire un récit de genre. De plus, les tueurs pervers sont des gens extrêmement lâches qui ne s'attaquent qu'aux plus faibles. Une lutte au finish avec Lucas et sa bande n'aurait pas eu de sens. Il me fallait au contraire un type qui sait ce que le combat rapproché veut dire. Qui mieux qu'un ancien légionnaire pouvait incarner ce personnage ? D'autant mieux que cet ex-soldat avait un lourd passé psychiatrique.

Cela fait-il de Boisseau un salaud ? Je ne sais pas. Pour moi, c'est un type que l'armée a transformé en tueur pour des raisons évidentes et qui, parce qu'il avait sans doute une faille, a vécu un traumatisme qui l'a transformé en animal sanguinaire. Un lourd suivi psychiatrique lui a permis de reprendre sa place dans la société civile mais c'était sans compter l'irruption de cinq jeunes cons (ben oui) qui allaient réveiller la bête qui sommeillait en lui. Sans cela, il aurait vécu sa vie pépère jusqu'à sa mort. Dans ce sens, je le perçois davantage comme une victime. Mais une victime inquiétante quand on connait son passé.

A vrai dire, le seul salaud de l'histoire est sans doute Lucas. Et encore, on ne sait pas ce qu'il a vécu pour en arriver là. Je pense que c'est un type qui compense un manque de confiance en lui par une attitude très agressive. Il s'est construit un personnage de dur à cuire baratineur qui lui sert de paravent. Il est le prototype du mec qui, une fois lancé et enfermé dans sa propre logique, ne peut plus faire marche arrière. Mais je dois avouer que ce genre de personnage n'a rien de sympathique. En revanche, c'est du pain béni dans une fiction !

Maintenant, quant à qualifier quelqu'un de vrai salaud revient à se demander ce qu'est un vrai salaud. Et là, c'est, selon moi, davantage une question de limite que chacun établit selon sa propre sensibilité et/ou sa propre échelle de tolérance. Certains sont hermétiques à toute forme de compréhension et jugent à l'aune de leur indignation tandis que d'autres tentent de prendre en compte le vécu de chacun avant de le juger. Pour les premiers, les vrais salauds existent et pullulent ; pour les seconds, c'est beaucoup plus nuancé.