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Je me suis permis d'insérer une image. wink

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Ouais. Et le pire est qu'y a même pas d'album à gagner ! tongue

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Le petit monde de la BD serait-il donc une exception ?

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Merci, Rice. Comme quoi, nos lecteurs ont du talent ! wink

Mais tu pointes du doigt ce qui est une de mes grandes frustrations (sans doute partagée par bon nombre de mes contemporains mais néanmoins collègues auteurs BD), c'est la tentative vaine d'intégrer la notion de lenteur à un récit de BD. Je suis un grand fan du cinéma indépendant, pas seulement ricain, entre autres raisons pour la lenteur qui souvent s'en dégage. J'ai pas dit l'ennui mais la lenteur ; quoique la lenteur soit la traduction de l'ennui qui accable les divers personnages. C'est donc un des fantasmes, une chimère devrais-je dire, que je poursuis tout en sachant que je ne parviendrai sans doute jamais à l'assouvir. En gros, la notion de temps est impossible à mettre en oeuvre en BD. Et ça, c'est très, très frustrant.

Pourquoi je parle de ça ? Parce qu'en tant que lecteur, je tombe dans le même piège : j'avale les dialogues à grande vitesse, tourne les pages, engloutit le récit alors que, pour bien faire, il faudrait que je laisse le temps aux personnages de s'installer, de jouer leur rôle sans précipitation, comme si je regardais un film ou lisais un roman. C'est tout le problème de la BD : sa facilité de lecture fait qu'on la bouffe plutôt que ne la déguste. Et si parfois on lève le pied, ce n'est pas pour se laisser imprégner par le récit mais pour contempler un trait, une composition graphique. En bref, je passe à côté d'éléments plus subtils laissés par les auteurs en raison d'une forme de boulimie compulsive qui me prend lorsque je lis une ou plusieurs BD.

Je n'ai pas dit que c'est la raison pour laquelle tu es passé à la première lecture à côté de l'histoire mais ça pourrait être une explication. A ce propos, j'aimerais savoir comment vous, tous les gars, lisez une BD : êtes-vous plutôt du style "bouffeur compulsif de BD" (:D) ou "dégustateur" ? Prenez-vous le temps de lire ou ça ne va jamais assez vite ?

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Une chose est sûre, elle n'a pas été réalisée pour l'expo (à la louche, je dirais qu'elle date de 2009). J'ai posé la question au sanglier et, comme c'est souvent le cas, il ne se peut pas m'en dire davantage trahi qu'il est par sa mémoire. Il me semble juste qu'elle a été reprise dans l'intégrale 2 de Comanche paru au Lombard. Quelqu'un pour le vérifier car je ne possède pas cet ouvrage ? Merci.

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J'attendais de recevoir quelques illustrations de la part de la personne en charge de l'expo avant de publier l'annonce mais comme elle vient d'être publiée, je ne peux plus attendre. C'est donc dans la rubrique RV du site ainsi que sur FB.

Pour info, ce ne sera pas une expo classique dans le sens où elle sera en partie composée d'illustrations inédites que le sanglier a commises ces derniers mois, pris par une envie brutale de se libérer des codes de la BD et d'explorer graphiquement un style qui le fascine depuis longtemps, celui d'Egon Schiele. Bien sûr, plutôt que bêtement copier ce dernier, il s'est abandonné au trouble que son influence a au cours des années imprimé en lui et l'a laissé le guider dans un exercice libérateur, à l'opposé des codes stricts de la BD, qui tend à déformer les corps, les triturer, les torturer jusqu'à ce que leur distorsion offre une nouvelle esthétique et traduise leur caractère profond à travers les volumes violentés. Ouais, tout ça ! Une chose est sûre, il a pris gout à cet espace de liberté et désire continuer dans cette voie, sans pour autant, qu'on se rassure, se détourner de la BD. Ce que vous verrez donc dans cette expo n'est que le balbutiement de ce qui pourrait être une nouvelle expérience graphique signée par le sanglier.

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