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Aucune idée. J'enquête dès lundi (si je n'oublie pas).

Bon album, mauvaise case.

Je leur ai demandé une invitation officielle, c'est tout. A la limite, tu ne dis pas que tu viens de ma part : tu as juste lu mon message sur le forum du site. Enfin, tu fais comme tu le sens, je ne veux pas te mettre dans l'embarras, c'est tout.

Allez hop, je vous propose un petit jeu !

Saviez-vous que mon papounet s'est inspiré du physique d'un personnage dessiné par Gir (encore lui !) dans Blueberry pour créer Barney Jordan ? Ne cherchez pas un personnage marquant (ce n'est pas l'ineffable Jim McClure), non, celui-ci fait une apparition aussi peu mémorable qu'elle est insignifiante. Une case et c'est tout. Pas coton, je sais. Bon, première étape : trouver le bon album. Après, les choses devraient être plus simples.

Allez, go, et que le meilleur gagne !

On ne tue rien ni personne ici. L'expo semble très bien faite et ravit ses visiteurs si j'en crois les intervenants sur le site BDGest. Moi, je m'étonne simplement que, lorsque je lui ai posé la question, il m'a répondu ne rien savoir sur l'existence de ces catalogues. Il suffisait de lui envoyer l'un ou l'autre exemplaire par la poste, ça ne coûte pas cher et c'est toujours apprécié. Cela dit, il est possible que son manque d'intérêt pour ce type d'événement autour de sa personne ait contribué à effacer de sa mémoire ledit catalogue. Avec l'âge, il a tendance à zapper ce qui ne lui semble pas primordial, à savoir tout à l'exception de la réalisation de sa planche.

Je parlerais donc ici plutôt d'une petite maladresse commise par une jeune équipe encore en rodage. Pour exemple, cette phrase qui a eu le don d'irriter les "vrais amateurs" coupables du crime d'habiter un peu trop loin de Bruxelles (les cuistres !). Soit rien de bien grave. Et puis, l'amateurisme peut avoir ses bons côtés : la passion remplace le savoir-faire trop souvent mécanique.

Donc, parler de commentaires sans fondement, non. On dit que la critique est aisée et l'art difficile. Mais l'art est aussi d'accepter la critique, même si elle est exagérée, dure voire injuste. C'est elle qui rend l'art meilleur. A bon entendeur et sans rancune.